On peut verrouiller et déverrouiller la suspension avant à l’arrêt à l’aide d’un bouton sur la poignée droite, alors qu’n frein à main garde la 500 bien en place en pente.
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| L'excellent design du poste de pilotage, avec les rétros bien espacés - pour mieux voir qui essaie de vous rejoindre... (Photo: Matthieu Lambert/Moto123.com) |
Des dispositifs de sécurité intelligents coupent le moteur si on donne du gaz sans être en selle, et déverrouillent la suspension avant quand on ouvre les gaz.
Confort au rendez-vous
Parlons du bon d’abord : le large tablier avant protège vos jambes, les deux selles généreuses, les rétroviseurs bien éloignés, une télécommande pour ouvrir le coffre sous la selle, et une prise de douze volts pour recharger vos gadgets.
On y trouve également des tubulures en acier à l’avant et sur les côtés offrant un genre de protection… j’imagine. J’ai trouvé l’espace de rangement sous la selle limité pour une machine de cette taille - vous n’arriverez jamais à y ranger un casque intégral, par exemple. On peut cependant ajouter un coffre supérieur (Top Case) à l’arrière ou attacher un sac derrière la selle.
Comme nos autres essayeurs, j’ai eu de la difficulté à lire l’indicateur de vitesse et le compte-tours, rouges sur fond noir comme ils sont. On a fait preuve de trop de créativité ici. Piaggio pourrait utiliser la même approche que sur la
Vespa GTV 300 : un beau noir sur fond blanc tout simple !
Et hop, c’est parti…
J’ai adoré les performances et la nervosité de la 500, observant avec un malin plaisir les regards étonnés des conducteurs de boîtes à quatre roues quand je décollais aux feux ou les doublais sur l’autoroute. Certains accéléraient pour rester devant moi, mais un bon coup de gaz suffisait pour suivre, à leur grande surprise.
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| À l'attaque, le MP3 500 Sport colle de l'avant - on s'y attendais - mais autant de l'arrière, de quoi mettre tout le monde en confiance et... s'amuser fort. (Photo: Piaggio) |
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