Ducati ne veut pas s'arrêter en si bon chemin
13 octobre 2006
par
Flagworld
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Actuellement quatrième au classement général, Loris ne veut pas en rester là : il souhaite gagner des places - le plus possible. « J'aborde ces deux dernières courses avec optimisme. Après la victoire de Motegi, j'ai bien conscience de notre potentiel et je suis très confiant, » affirmait-il.
Les deux circuits européens qui attendent désormais le championnat du monde sont bien connus de tous et chacun y voit une caractéristique qui pourrait l'avantager. En ce qui le concerne, Capirossi est convaincu que les températures plus basses favoriseront ses gommes.
« A Estoril comme à Valencia, il est possible qu'il fasse plutôt froid et les techniciens Bridgestone ont nettement amélioré nos pneus pour les températures les plus basses, » expliquait-il.
« D'ailleurs, nos gommes se sont très bien comportées à Phillip Island, où l'asphalte était très froid : si les conditions étaient restées inchangées en course, nous aurions eu un avantage certain par rapport aux autres - malheureusement ça n'a pas été le cas. »
« Le circuit de l'Estoril n'est pas particulièrement intéressant mais il n'est pas non plus ennuyeux ; je lui donnerais la moyenne ! Il faut tout de même admettre qu'il possède l'un des virages les plus beaux de tout le championnat : le numéro 5, qui s'attaque à 230 km/h. Si tu le prends bien, il est vraiment extra ! » notait Loris.
Fort de son expérience, Capirossi ne veut pas s'emballer trop vite : il sait que la situation au championnat est critique et qu'elle se décantera probablement ce week-end. Chaque erreur risque ainsi d'être fatale.
« Le championnat est encore ouvert et, cette année, nous avons vu que tout peut arriver. Il suffit de penser à ce qui est arrivé à Pedrosa : à Phillip Island, avant le départ de la course, il était second au classement et puis il n'a marqué qu'un point et la situation a changé du tout au tout. »
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