La Rush utilise aussi l’excellent système de poulies à diamètre variable CVT (dite P2), déjà monté sur la majorité des machines Polaris. La P2 hyper efficace contribue aux excellentes reprises, alors que la chenille RipSaw à crampons de 1,25 pouce offre toute l’adhérence voulue, peu importe l’état du sentier.
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| Le 600 Rush 2010 utilise le bicylindre Cleanfire2; un 2 temps de 600cc qui délivre 120ch des plus impressionnants. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
L’ergonomie d’une machine de course
La nouvelle direction à crémaillère réduit l’effort de pilotage et augmente la précision. De plus, le guidon et la selle bien remontés, la colonne de direction presque verticale, les marchepieds élargis et la cabine étroite au niveau des genoux, travaillent de concert pour faciliter la conduite sportive de type snocross.
On a ajouté un chronomètre au tableau de bord à affichage numérique pour les journées en piste. De plus, le minuscule pare-brise d’origine peut être troqué pour un modèle légèrement plus haut et muni de déflecteur pour les mains, pour plus de confort.
Pour amateur de conduite active
Comme pour les autres moteurs Polaris, les reprises du petit 2 temps surprennent et savent plaire. Son couple à mi-régime étonne, donnant l’impression d’un moteur de plus grosse cylindrée. Le système de freinage suit dans la foulée ; puissant à souhait, endurant et facile à doser, il figure parmi les meilleurs de l’industrie.
La position de conduite plus haute et plus avancée, semblable à celle d’un VTT sport, et la légèreté de la machine exigent de la part du pilote un engagement physique plus important pour en profiter à pleine mesure, car la Rush ne se conduit pas qu’avec le guidon, mais plutôt avec tout le corps. Les amateurs de conduite sportive seront enchantés de constater à quel point le châssis Pro-Ride sait écouter et bien réagir au transfert de poids du pilote en préparation de virage, obéissant presque instinctivement à ses anticipations.
Prenez cependant le temps de bien régler les suspensions selon vos besoins, de vous acclimater à la nouvelle position de conduite et à l’effet des transferts de poids, avant d’attaquer avec ardeur un sentier sinueux.
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| La position de conduite plus haute et plus avancée exige de la part du pilote un engagement physique plus important. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
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