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PGO Metro 50 2011 : essai routier

7 juin 2011

par Amyot Bachand , moto123.com

De facture classique, le PGO Metro 50 se détache du lot par sa solidité et son assemblage de qualité. Il s’identifie clairement à la mode courante des Vespa, se déclinant en plusieurs teintes distinctes comme le noir, le rouge ou le beige qui siéront aux deux sexes, ainsi qu’un rose bicolore très féminin. Ce style fluide est légèrement affecté par les clignotants, que les normes canadiennes imposent aux importateurs de scooters. Les clignotants d’origine, bien intégrés aux panneaux de carrosserie, demeurent toujours en place et on serait tentés d’enlever les ajouts… par contre il faut s’assurer d’une bonne visibilité.

De facture classique, le PGO Metro 50 se détache du lot par sa solidité et son assemblage de qualité. (Photo: Matthieu Lambert/Moto123.com)

Ce qui l’apparente également au courant des belles italiennes, ce sont les multiples accessoires chromés pratiques que l’on peut se procurer comme le porte-paquet arrière aux bras allongés, le porte-bagage frontal auquel on peut y sécuriser son attaché-case ou y greffer un panier d’osier disponible. Ainsi, on peut personnaliser son Metro 50 et lui donner une allure différente de la masse des autres scooters urbains.

En selle
Quand on enfourche le PGO, on s’y sent tout de suite à l’aise. Les deux béquilles pratiques à mettre ou enlever et le poids de la machine simplifient la prise en main. La hauteur de selle permet d’avoir les deux pieds appuyés au sol, et le guidon tombe à merveille dans les mains. J’aime particulièrement l’instrumentation dont le cadran principal, de belle facture et agrémenté d’une jolie teinte, se lit sans peine. Les contrôles à portée des doigts se manipulent agréablement, incluant entre autres, le klaxon et l’appel de phare. Le plancher et le tablier accordent une bonne position des pieds, ce qui autorise une conduite aisée. L’ajout d’un petit pare-brise pourrait se révéler un atout tôt au printemps ou tard à l’automne, mais pas essentiel.

Rangement pratique bien que limité
J’ai souligné l’attrait et l’importance décorative des accessoires, n’empêche qu’ils s’avèrent nécessaires si l’on veut tirer le maximum de ce scooter urbain. Comme espaces de rangement, on compte sur un panier situé sur le tablier et sur un coffre sous la selle, quoique ce dernier se limite à y ranger un casque ouvert. Il faut donc suppléer en y ajoutant les paniers et le coffret pour maximiser son utilisation, pour faire les courses ou se rendre au travail. C’est d’ailleurs pour cette raison que notre importateur canadien a prévu la monte de ces accessoires et les a créés pour bien se marier au véhicule.

Comme espaces de rangement, on compte sur un panier situé sur le tablier et sur un coffre sous la selle. (Photo: Matthieu Lambert/Moto123.com)
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