L'habitacle se transforme de multiples façons (le constructeur en propose 25) grâce à la banquette arrière dont les deux parties (65/35) peuvent être repliées, escamotées ou déposées indépendamment en un tournemain.
MÉCANIQUE La PT Cruiser partage le moteur multisoupape de 2,4 litres des berlines Sebring LX.
Contrairement à ces dernières, la transmission de série qui entraîne les roues avant est une manuelle à cinq rapports.
À moins que l'acheteur n'ait opté pour l'automatique, qui procure plus de confort aux occupants certes, mais au prix d'accélérations décevantes.
La boîte manuelle, dont le maniement est agréable, constitue un choix plus attrayant à ce chapitre.
Cela dit, l'habitacle est bien insonorisé, plus qu'on ne l'imaginerait d'un produit Chrysler.
Même en accélération, l'effort du moteur reste discret.
Seuls des bruits éoliens gêneront certains conducteurs à vitesse de croisière.
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