Difficile de travailler dans ces conditionssource: moto-live.com - Sandrine BOUCHARD © CAPSIS International Quelques équipes sont restées à Doha, dimanche, pour effectuer quelques essais avant de reprendre le chemin de l'Europe.
Leurs plans ont été sérieusement mis à mal par un vent suffisamment violent, avec des rafales à plus de 60 km/h, pour gêner les pilotes et rendre même la situation dangereuse.
Les pilotes Ducati, Casey Stoner et Loris Capirossi, se sont risqués à quelques tours mais ont bien vite constaté qu'ils ne pourraient abattre aucun travail digne de ce nom, tant sur les réglages de leurs motos que sur les pneus Bridgestone.
''Nous avons essayé de faire quelques tours mais il y avait trop de vent et nous étions obligés de prendre trop de risques. C'est dommage parce que nous avions plusieurs pneus Bridgestone à tester. Ma chute en course est déjà oubliée et je suis prêt pour la prochaine course'', expliquait Capirossi.
Nicky Hayden a tenté, malgré tout, de trouver quelques solutions aux problèmes qui l'ont affecté tout le week-end. Le pilote Repsol Honda a bouclé une trentaine de tours avant de jeter l'éponge, conscient qu'il n'arriverait pas à grand chose dans ces conditions.
''Il y avait vraiment beaucoup de vent aujourd'hui, tellement que nous avons dû stopper plus tôt. Même s'il y avait beaucoup de sable sur la piste, le grip n'était pas mauvais.''
''Surtout, le vent poussait la moto et il était difficile d'aller très vite sans prendre de gros risques dans les courbes rapides », indiquait l'Américain.''
''Nous avons attendu un peu mais le vent n'est pas tombé et nous ne voulions pas partir dans une mauvaise direction. Je suis maintenant impatient d'aller à Jerez.''
''Merci à l'équipe parce que c'est moi qui voulait rester pour ces essais et, même si nous n'avons pas pu faire grand chose aujourd'hui, ça valait le coup de rester.''
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