Zero MX 2010 : essai

Agile grâce surtout à sa légèreté, elle se pilote facilement peu importe l’adhérence disponible, alors que les glissades en sortie de virage se contrôlent facilement grâce au couple toujours présent du moteur. La relation entre l’accélérateur et les réactions du moteur un peu floue devra être améliorée, une question de programmation de l’ordi de contrôle. Les freins démontrent une bonne endurance malgré la minceur des disques et les petits étriers, plus bicyclette que moto mais toujours précis et faciles à doser.

(Photo: Philippe Champoux/Auto123.com)

Le silence – son atout principal
J’avoue avoir eu un plaisir certain à piloter cet engin venu d’une autre galaxie. Le cadre et les suspensions permettent à la MX d’attaquer les sauts et les sentiers les plus escarpés de manière surprenante. De plus, la nouvelle Zero MX offre la possibilité de s’amuser comme un enfant dans le sable et la boue, et ce, sans déranger le voisinage. Et juste pour ça, elle se doit d’exister, même à un prix pas mal plus élevé que ses concurrentes à essence.

Plus
Conviviale
Harmonie avec les voisins
Ultra légère
Agile

Moins
Dosage difficile de l’accélérateur
Autonomie réduite à pleine puissance
Coût d’achat élevé