Comportement prévisible
En conduite superquad sur l'exigeant circuit asphalté de Mécaglisse (Notre-Dame-de-la-Merci), les freins du Raptor conservaient leur mordant tour après tour, sans que le levier ne devienne spongieux. Le Raptor se montre prévisible et assez stable pour attaquer les virages en dérapage sans risquer de capoter, comme avec l'ancienne version à bras delta trop court, même s'il faut se déhancher au maximum pour y arriver.
Les nouvelles suspensions réglable font bien le travail, maximisant l'adhérence en sortie agressive d'un virage bosselé. En sentier et réglée plus souple, elle absorbe bien les bosses et offre même un niveau confort surprenant pour une machine sportive.
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| Le Raptor 700R version 2009 est un vrai délice de puissance pour ceux qui aiment se faire peur à l'occasion. |
Plaisir et encore plaisir
Plus on passe de temps sur la machine et plus on l'apprécie, que vous rouliez calmement sur un sentier fédéré ou à fonds de train sur une piste de sable avec des sauts. Jamais une machine sportive ne m'a paru aussi polyvalente. De plus, grâce à son cinémomètre et son feu de frein d'origine, il ne manque qu'un simple miroir pour que le Raptor 700R devienne légal pour une conduite en sentier fédéré. Le seul point négatif : une autonomie limitée.
Le Raptor 700R version 2009 frappe fort, avec de meilleurs freins, plus de confort, plus d'ergonomie, plus de stabilité, plus de performance, en plus de son style irrésistible pour un VTT sport le plus complet et le plus polyvalent de l'industrie - Un vrai délice de puissance pour ceux qui aiment se faire peur à l'occasion.
Puissance
Châssis surprenant
Polyvalence
Confort
Autonomie limitée
Aucun
Photos : Philippe Champoux et Matthieu Lambert
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