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Honda TRX420PG CTE 2009 : premières impressions

21 octobre 2009

par Henri Lebarbé , moto123.com

Ce nouveau venu dans la gamme des quads Honda surprend par sa maniabilité, sa légèreté, et sa motricité. Bien qu’il ressemble à ses grands frères, le TRX420PG CTE (Canadian Trail Edition) se démarque par sa suspension à grand débattement adapté à nos sentiers, et la toute nouvelle transmission automatique ESP (Electronic Shift Program) à double embrayage, ce qui lui confère sa conduite amusante, plaisante, et sportive à souhait.

Le TRX420PG CTE (Canadian Trail Edition) se démarque par sa suspension à grand débattement adapté à nos sentiers, et la toute nouvelle transmission automatique ESP.

Reprises nerveuses
Monté en position longitudinale, le moteur utilise un arbre d’équilibrage et des supports moteurs en caoutchouc pour presque éliminer toutes vibrations. Basé sur le 420 de la précédente génération et dont la fiabilité n’est plus à faire, son alimentation par injection électronique lui confère performance et souplesse qui sautent aux yeux, tout comme la douceur au ralenti et la force des reprises. Pour 2009, les concepteurs Honda ont incorporé des soupapes de plus grand diamètre et un boîtier d’admission plus volumineux – des améliorations qui ont certainement contribué au comportement plus excitant du moteur.

La nouvelle boîte de vitesses offre deux modes, l’un avec changement automatique des 5 rapports, l’autre aux changements commandés par bouton (ESP) sur le guidon, comme on en a déjà vu sur d’autres modèles. La TRX420PG CTE diverge cependant des anciens modèles en faisant appel à trois embrayages. Un premier embrayage dit « centrifuge » relie le moteur à la boîte, alors que tout le couple passe par cet embrayage principal vers la boîte.

En marche, cet embrayage principal reste engagé et bloqué, et le passage des rapports se fait à l’aide de deux autres embrayages, un commandant les 1er, 3e et 5e rapports, le second s’occupant des 2e et 4e rapports. Ces deux embrayages s’échangent la transmission de la puissance au fil des changements de rapports selon les ordres du ESP et des boutons commandés par le pilote – un arrangement semblable aux voitures haute performance les plus modernes : BMW M3, Ferrari, Porsche ou Audi. Pas mal hein ?

De plus, cette boîte mécanique produit un puissant frein moteur, assez pour faciliter la conduite et réduire le besoin de freiner en pilotage normal. La boîte demeure sur le mode choisi par le conducteur, même après avoir coupé le contact, alors que le passage d’un mode à l’autre s’effectue facilement à l’aide de son petit levier facile d’accès.

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