Mais Shanghai n'est pas le meilleur circuit pour cela source: moto.racing-live.com - Léna HÉMERY © CAPSIS International Le début de saison de Sete Gibernau chez Ducati a été marqué par des résultats pour le moins irréguliers : un abandon en Espagne, une quatrième place au Qatar et les points de la onzième place en Turquie.
L'espagnol, qui a rejoint l'équipe de Borgo Panigale cet hiver, semble toutefois à l'aise dans cette nouvelle structure après plusieurs années passées chez Honda. Il ne lui reste plus qu'à trouver définitivement ses marques pour pouvoir exploiter au mieux le potentiel de sa machine, même lorsque celle-ci n'offre pas des performances très régulières comme à Istanbul.
Cette semaine, le paddock rejoint la Chine, Grand Prix sous pression suite aux nombreuses critiques exprimées aussi bien par les fédérations qui regrettent le mauvais accueil qui leur a été réservé, que par les pilotes qui comprennent de moins en moins qu'on les fasse courir sur des circuits destinés à la Formule 1.
Reprenant le discours de pratiquement tous ses collègues, Sete Gibernau admettait avant son départ : « Je dois avouer que Shanghai n'est pas mon circuit préféré, même si l'année dernière j'y avais signé la pole position. Ca n'est pas un tracé amusant, il n'est pas adapté aux motos. Le premier virage est étrange et le reste du circuit l'est encore plus ! Il y a deux lignes droites très rapides et quelques virages vraiment très serrés, alors on n'arrive jamais à se mettre dans le rythme. »
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