Et surprend son équipe source:moto.racing-live.com- Sandrine BOUCHARD © CAPSIS International A l'instar de nombre des équipes, le team Kawasaki est à Sepang, cette semaine, pour la première séance d'essais de l'année 2006.
Lundi, jour de reprise, Shinya Nakano et Randy de Puniet ont commencé par offrir un shakedown à leur toute nouvelle Ninja ZX-RR.
Satisfait des résultats de la matinée, le Japonais s'est mis à travailler, dans l'après-midi, sur les réglages de sa machine, ainsi que sur les suspensions. Il a rapidement identifié les domaines dans lesquels il était possible de progresser.
« J'ai passé mon temps, ce matin, à entrer et sortir du garage, mais c'est normal quand on arrive avec une machine totalement nouvelle. Il y a toujours tout un tas de petites choses qui demandent à être ajustées ou changées », commentait Shinya. « Cet après-midi, j'ai pu boucler plus de tours et, dans l'ensemble, ma première impression est très bonne. La moto est plus maniable et le nouveau moteur est plus puissant que l'ancien. J'ai besoin de passer plus de temps au guidon pour mieux cerner les caractéristiques du moteur mais je pense que cette nouvelle moto a beaucoup de potentiel. »
Débutant dans la catégorie reine, Randy de Puniet a impressionné par sa régularité et le rythme qu'il a trouvé au guidon de la Ninja. Le Français s'est livré à une simulation de course de 15 tours, en fin de journée, approchant le meilleur temps de son équipier.
« Ce fut une bonne journée. J'ai réussi à aligner les tours au guidon de la nouvelle moto et j'ai un très bon feeling. A la fin de l'après-midi, j'ai bouclé une simulation de course de 15 tours. Les pneus et la moto ont bien marché et mes chronos ont été réguliers. Dans l'ensemble, je suis satisfait des essais d'aujourd'hui et je suis impatient de reprendre la piste, demain », confiait Randy.
« J'ai été surpris par la rapidité avec laquelle Randy s'est adapté à la Ninja ZX-RR. Pendant sa simulation de course, il a signé des chronos constants et très proches du meilleur temps de Shinya. C'est bon pour l'équipe d'avoir deux pilotes assez près l'un de l'autre pour pouvoir se pousser mutuellement et développer ensemble la moto », concluait Harald Eckl.
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