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Ben Milot

Les sauts de Milot

1 août 2003

par MotoMag

Entre Ben Milot et le motocross, le déclic s'est fait instantanément. À neuf ans, il roulait déjà comme un pro sur sa Yamaha 80 cc ! Certains vivent par le motocross, d'autres, pour le motocross. Benoit Milot fait partie de la seconde catégorie. Découverte d'un gars passionné.

Même si son frère, son aîné de sept ans, l'a initié au motocross, Ben a rapidement développé son propre style. Avec sa Yamaha 80 cc, il changeait de rapports à toutes les minutes. Ses copains disent de lui qu'il était déjà un pro à ses débuts ! Tout de même, ça lui a pris deux ans pour se lancer dans les compétitions plus sérieusement.

La première fois

À l'âge de dix ans, Ben s'est lancé sur la piste. Né à Yamachiche, près de TroisRivières, c'est aussi là qu'il a connu ses premières expériences... de motocross ! Et les titres ont commencé à s'accumuler: champion canadien en 80 cc en 1993, champion québécois l'année suivante... Il passe assez rapidement dans le junior 125 cc. Après son passage chez les juniors, il saute la classe amateurs pour aller s'éclater chez les pros.

Il se garde pour le 125

En pro, à ses débuts, Ben roule dans le 125 seulement. Le 250, c'est un peu trop pour lui, pour l'instant. Ben, même si l'adrénaline coule à flot dans ses veines, connaît ses limites et les respecte. À sa première course en 125, il se tape la deuxième position, tout juste derrière Simon Homans.

L'année suivante, le 250 ne lui fait plus peur: même s'il trouve cela plus difficile, ses performances lui permettent un premier podium en Pro-Am. À ce moment-là, la course prenait toute la place dans la vie de Milot alors que le style libre, " seulement 15 % ", souligne-t-il.

S'envoyer en l'air

Les sauts, c'est aux arénacross de Rivièredu-Loup et de Victoriaville qu'il les expérimente. Pour lui, ça a été la piqûre! Son avenir, à partir de ce moment-là, il le voit en freestyle seulement. Du moins, son avenir professionnel. "En course, j'avais accès à des compétitions au Québec et au Canada seulement. En freestyle, je pouvais aller à des compétitions internationales".

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